Directeur de recherches au Laboratoire Villes, Mobilités, Transport (Ecole Nationale des Ponts et Chaussées, Université de Marne-la-Vallée, Institut National de Recherche sur les Transports et leur Sécurité).
Travail intégré, Société éclatée, PUF, 1995. L’homme flexible et ses appartenances, L’Harmattan, 2001.
L’univers des services, L’Harmattan, 2005. Avec Régine Bercot.
Frédéric de Coninck, « Crise de la rationalité industrielle et transformations de la prescription. Une étude de cas », Sociologie du Travail, 2005, n° 1.
Régine Bercot et Frédéric de Coninck, « Que devient le travail collectif dans des groupes entrecroisés et transitoires ? Une analyse simmelienne », Gérer et Comprendre, n° 72, Juin 2003.
Frédéric de Coninck, « Avoir du temps devant soi. La construction d’un temps transitionnel dans le travail : temporalités productives et temporalités biographiques », in François Ascher et Francis Godard, eds., Modernité : la nouvelle carte du temps, Paris, Ed. de l’Aube, 2003.
Frédéric de Coninck, « La Métaphore de l’ouvert et du fermé chez Max Weber. Questions préliminaires pour une sociologie de l’action », Cahiers Internationaux de Sociologie, Vol CIV, janvier-juin 1998.