vendredi 1er juin 2018
sous la direction de Laurent Di Filippo et Émilie Landais
Strasbourg, Néothèque, 2017, 319 pages
Présentation : L’évolution constante du paysage médiatique invite les chercheurs à repenser sans cesse les changements de société sous différents angles, qu’ils soient culturels, sociaux, économiques ou historiques. Dans cette optique, les travaux sur la notion de convergence, ainsi que sur celle de transmedia se sont multipliés depuis le début des années 2000. Ceux-ci permettent d’analyser les stratégies mises en place par les acteurs pour construire et penser les relations entre supports médiatiques.
Cet ouvrage propose d’examiner le rendement heuristique de ces notions. Il vise également à étendre ces réflexions à des problématiques et des théories générales en sciences humaines et sociales, en plaçant le facteur humain et en particulier la construction des publics au coeur des questionnements.
Laurent Di Filippo est docteur en sciences de l’information et de la communication et en études scandinaves. Il est chargé de recherche au sein de l’entreprise Ernestine et membre associé du Centre de recherche sur les médiations à l’Université de Lorraine. Ses travaux portent sur la reprise et la circulation d’éléments mythologiques traditionnels dans les productions culturelles contemporaines.
Émilie Landais est doctorante en sciences de l’information et de la communication à l’Université de Lorraine et membre du Centre de recherche sur les médiations. Elle s’intéresse à l’émergence des études sur la pornographie dans les Sciences Humaines et Sociales.
Ouvrage publié avec le soutien du Centre de recherche sur les médiations, de l’École doctorale Fernand-Braudel et de l’UFR Sciences Humaines et Sociales – Metz et de l’Université de Lorraine.
Voir en ligne : Site de l’éditeur