Michèle Robitaille est étudiante au doctorat de sociologie à l’Université de Montréal. Elle travaille sur les représentations du corps humain portées par le discours transhumaniste. Elle poursuivra ses recherches sur le corps contemporain et la technique à l’Université March Bloch (Strasbourg) à titre de stagiaire post-doctorale.
« Nano-Body or Nobody ? Radical Life Extension of a Disembodied Self » dans Pirani, B.M. et Varga, I. (éds.) The New Boundaries Between Bodies and Technologies, Cambridge Scholars Publishing, 2008.